La trahison
         Lors d'une fête religieuse qui se déroulait au château de Brest, la marâtre d'Azenor interpella le comte de Goëllo:
         -"Mon cher beau fils, comme j'ai de la peine pour vous!
        -Pourquoi avez-vous tant de peine pour moi?
         -Vous ne savez donc pas?
         -Quoi donc, chère belle mère?
         -Hé bien... il est que... j'ai surpris votre femme parlant d'une façon un peu trop tendre avec Yvain, un des nouveaux chevaliers à la cour.
         -Que me racontez-vous là?
         -La pure vérité, cher comte! car j'ai intercepté une lettre adressée à Azénor et qui dévoilait leurs amours coupables!"
 

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